J17-Lido Marini à Ugento

Isabelle et Jean-Paul ont décidé de commencer la journée par un bain matinal dans la mer. Réveil à 6 h 15. Ils croyaient être seuls au monde sur la plage mais deux pêcheurs étaient déjà au travail. Lever de soleil dans la mer ionienne, c’est pas tous les jours. Bon moment.

Retour dans notre chambre pour faire les sacs et déjeuner dans un bar au bord de mer. Cornetto et café avec vue sur mer: le pied. Départ à 8 h 00 en longeant tantôt la mer, tantôt un parc naturel ( le Zwin en tout petit).
Des canaux ont été aménagés pour amener l’eau de mer à l’intérieur des terres: végétation luxuriante et oiseaux, canards et autres volatiles à profusion. Chouette promenade.

Vers midi nous quittons la mer pour rentrer à l’intérieur des terres. Retrouvailles avec les oliviers (les malades et les nouvelles plantations). Découverte de champs de piments 🌶️ à perte de vue… sans les goûter !

Pic-nic à l’ombre d’un…olivier avec brise marine bienvenue. Car à midi, je vous l’assure, il ne fait pas vraiment froid…!

Bernard profite de ce moment de repos pour maîtriser la découpe d’une figue de barbarie. Franchement, il est doué et découpe sans se couper ou se blesser ce fruit qui ne se laisse pas faire. Pendant ce temps-là, Isabelle envisage l’achat d’une parcelle de terrain avec oliviers et grand cabanon de pierres…Mais il y a tellement avant vendre !

En cours de route vers Ugento, Bernard joue au marchand de glaces avec un congélateur-bahut abandonné le long de la route !!!?!?! C’est incroyable !

Demain grosse journée vers Galipolli.

Nous pouvons depuis 2 jours comparer les côtes de la mer Adriatique et celles de la mer ionienne.
Les premières sont très sauvages, très déchiquetées et très rocheuses, quasiment pas de sable fin. Beaucoup de criques.
Les secondes sont de sable fin, plus « civilisées » donc. Impression de Maldives ou Seychelles ( encore que je ne s’y suis jamais allé…)
Les deux sont magnifiques, dolce vita, soleil chaud en octobre, que dire de plus …Nature respectée même les rochers ! Et comme toujours, l’intérieur des terres est resté dans son jus.